MISSION

Demain sera : égalitaire, éco responsable, éclectique. 

Karama s’y engage par l’éducation.

Notre mission chez Karama Mali, c'est de soutenir le formidable peuple Bozo dans les enjeux qu'il rencontre. En nous concentrant sur l'éducation des jeunes générations, nous créons un véritable engouement au sein de toute la population et apportons des solutions immédiates comme à long terme.

Valeurs et objectifs

 
 
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L’environnement

La protection du fleuve est une priorité de tous les jours dans l’enseignement de nos enfants. De la sensibilisation au ramassage des déchets, les élèves déploient des projets impactant qui les touchent, ainsi que leur entourage.

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La culture

Les Bozos héritent d’une culture riche et merveilleuse : musique, contes, cuisine, faune et flore … Karama s’engage à valoriser ces trésors auprès de la jeunesse, notamment grâce aux cours de Bozo, dispensés par un père de famille bénévole.

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La créativité

Nous mettons en valeur la créativité et l’imagination pour permettre aux enfants une belle ouverture au monde : expression et projets libres sont les maîtres mots de leurs journées d’école.

LE PEUPLE BOZO et ses enjeux

Les Bozos sont un formidable peuple semi-nomade qui vit de la pêche et du ramassage de sable. Souvent considérés comme les maîtres et gardiens du fleuve Niger, les hommes passent une grande partie de la journée sur leur pirogue à pratiquer la pêche ou le ramassage de sable et les femmes s’occupent des tâches quotidiennes du foyer. Si la valorisation des rites et cultures Bozos est nécessaire pour la protection du patrimoine immatériel malien, elle présente aussi de nombreuses défaillances dans une société où la mondialisation est grandissante. Les enfants Bozos sont laissés pour compte, souvent abandonnés à leurs sorts, atteints de malnutrition, et non scolarisés. Un constat accablant quand on sait que l’avenir des peuples Bozos dépendra de cette jeune génération.

LE FLEUVE NIGER : Un enjeu écologique

La dégradation du fleuve Niger due à la pêche excessive, l’exploitation anarchique du sable et les déchets toxiques (mercure) participent considérablement à la détérioration des villages Bozos sur les rives du fleuve, entraînant une situation de profonde précarité et d’insalubrité persistante. D’un point de vue urbanisation, vivre sur les rives du fleuve est risqué car la mairie du District de Bamako menace d’évacuer les lieux depuis plusieurs années. 


… à constat alarmant, réponse engagée !